We are proud individuals living for the city, But the flames couldn’t go much higher. We find Gods and religions to, to paint us with salvation. But no one, No nobody, Can give you the power, To rise over love, And over hate, Through this iron sky, That’s fast becoming our minds. Over fear and into freedom. Oh, that’s life Left dripping down the walls Of a dream that cannot breathe In this harsh reality Mass confusion spoon fed to the blind Serves now to define our cold society From which we’ll rise over love, Over hate, Through this iron sky, That’s fast becoming our minds. Over fear and into freedom. You just got to hold on! You just got to hold on! Ohhh ohhhh oh oh [Sample from "The Great Dictator" (1940) movie – Charlie Chaplin:] (To those who can hear me, I say, do not despair. The misery that is now upon us is but the passing of greed, The bitterness of men who fear the way of human progress. The hate of men will pass, and dictators die, And the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish. Don’t give yourselves to these unnatural men – Machine men with machine minds and machine hearts! You are not machines, you are not cattle, you are men! You, the people, have the power to make this life free and beautiful, To make this life a wonderful adventure Let us use that power! Let us all unite!) And we’ll rise over love, And over hate, Through this iron sky, That’s fast becoming our minds Over fear, Into freedom. Into freedom! From which we’ll rise over love, And over hate, Through this iron sky, That’s fast becoming our minds Over fear, Into freedom Freedom From which we’ll rise over love, And over hate, Through this iron sky, That’s fast becoming our minds. Over fear and into freedom. Freedom! Oh! Rain on me! Rain on me! Rain on me! | Nous sommes fiers, des individus vivant pour la ville, Mais les flammes ne pouvaient pas aller beaucoup plus haut. Nous trouvons Dieu et les religions pour, pour nous peindre de salut. Mais personne Non personne Ne peut vous donner le pouvoir De vous élever au-dessus de l’amour Et au-dessus de la haine À travers ce ciel d’acier Cela devient rapidement nos esprits Par-delà la peur et dans la liberté. Oh, c’est la vie Qui dégouline le long des murs D’un rêve qui ne peut respirer Dans cette dure réalité Une confusion de masse, a nourri les aveugles Et sert maintenant à définir notre froide société De laquelle nous nous élèverons sur l’amour Par-delà la haine Au-delà de ce ciel d’acier Cela devient rapidement nos esprits Par-delà la peur et dans la liberté. On doit juste tenir bon! On doit juste tenir bon! Ohhh ohhhh oh oh… [Discourt de Charlie Chaplin dans son film des années 1940, Le Grand Dictateur] (À ceux qui peuvent m’entendre, je dis de ne pas désespérer Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, l’amertume de ceux qui craignent la voie du progrès humain. La haine des hommes passera, et les dictateurs mourront, et le pouvoir qu’ils avaient pris au peuple retournera au peuple. Et tant que des hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr. Ne vous donnez pas à ces êtres inhumains – hommes machine avec des esprits machine et des coeurs de machine! Vous n’êtes pas des machines, vous n’êtes pas du bétail, vous êtes des hommes! Vous, le peuple, avez le pouvoir de faire que cette vie soit belle et libre, de faire de cette vie une merveilleuse aventure Servons-nous de ce pouvoir! Unissons-nous tous!) Et nous nous élèverons sur l’amour Et au-delà de la haine À travers ce ciel d’acier Cela devient rapidement nos esprits Au-delà de la peur Dans la liberté Dans la liberté! De laquelle nous nous élèverons sur l’amour Par-delà la haine Au-delà de ce ciel d’acier Cela devient rapidement nos esprits Par-delà la peur et dans la liberté. liberté! De laquelle nous nous élèverons sur l’amour Par-delà la haine Au-delà de ce ciel d’acier Cela devient rapidement nos esprits Par-delà la peur et dans la liberté. liberté! Oh! Qu’il pleuve sur moi! Qu’il pleuve sur moi! Qu’il pleuve sur moi! |